Mise en scène Clémence Gross
Interprétation Maya Boquet, Léopoldine Hummel et Lenka Luptakova
Musiques et sons Eskazed
Son Bastien Varigault
Lumières Simon Vincent
La description d’un plan-séquence.
La piscine d’une villa sur la Riviera italienne.
Un plongeon.
Margarete nage. Jusqu’à l’attaque cardiaque. La panique fait s’accélérer les visions, s’effondrer les certitudes. Margarete est-elle réellement sur le point de se noyer dans les eaux rassurantes de sa piscine ? N’est-elle pas plutôt dans un Airbus 321 à huit secondes du crash ? Dans un partage entre voix off et voix nue, fiction radiophonique et théâtre, compassion et ironie, les comédiennes s’interposent pour s’approprier le corps de Margarete, devenir la chambre de résonance des perturbations de la conscience et de l’espace-temps en cas de mort imminente.
« Un silence irréel où plus rien d’hostile ne pénètre son cerveau ramassé sur lui-même dans la position à adopter en cas de crash »
production Compagnie Planches-Contacts. Crée en coréalisation avec La Loge. Avec l’aide de la Mairie de Paris dans le cadre des Aides Paris Jeunes Talents et l’aide d’Arcadi dans le cadre des Plateaux solidaires. Avec le soutien de la ville de Montreuil et de la Menuiserie à Pantin.